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Tribulations d'un geek...

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10 juin 2010

Pensées à propos d'Apple

S’il est une marque technologeek qui ne fait pas s’émoustiller que les geeks mais bien la ménagère lambda, c’est Apple. La marque à la pomme d’argent qui vend de l’électronique en guise de rêve se démocratise de plus en plus à travers ces dernières années. L’iPod, l’iPhone, l’iSlate… heu, pardon, l’iPad, voilà tout autant d’outils qui ont su conquérir le grand public et redorer l’image de la marque. Cependant, le virage stratégique de l’entreprise a été amorcé et l’on sent le vent tourner.

Apple

Le plus grand atout d’Apple : son inventivité. La souris traditionnelle ou encore l’iPhone sont deux grands exemples qui montrent à quel point Apple sait être innovant et peut révolutionner une industrie en y ajoutant sa touche en terme d’interface et d’ergonomie. Cet esprit créatif, allié à un perpétuel désir d’esthétisme a longtemps donné à Apple une image d’acteur de l’industrie de luxe, ce qui lui a permis l’augmentation tarifaire de ses produits afin de continuer à vivre correctement malgré des ventes limitées.

Aujourd’hui, Apple a connu un énorme succès avec l’iPhone et est maintenant connu de toutes les ménagères. La cible n’est plus la populace des geeks, des personnes les plus exigeantes ou aux besoins spécifiques, prêtes à mettre le prix dans du matériel de qualité qui réponde à leurs besoins, mais bien monsieur et madame Toutlemonde. Pourtant, la politique de prix d’Apple n’évolue guère, avec des prix toujours au dessus de la moyenne du marché et une marge plus que raisonnable pour l’entreprise.

Ce qui évolue désormais, c’est la politique d’ouverture de l’entreprise. Steve Jobs l’a bien compris, pour conquérir le marché de la ménagère, il faut du beau, du simple et de l’efficace. Et aux yeux du dirigeant de la marque à la pomme, ceci est synonyme de fermeture. On n’ajoute que les réponses aux besoins exprimés dans l’instant en fermant tout accès aux développeurs tiers pour qu’ils ne viennent pas combler les besoins futurs des utilisateurs d’une manière qui ne serait pas approuvée par Apple. Garder le contrôle à tout prix, voilà le nouveau moto de la marque qui contrôle jusqu’aux applications qui sont soumises sur l’iTunes store.

L’iTunes Store est une autre des grandes vitrines mettant en exergue les revirements de politiques de la société qui s’axe désormais sur la vente de contenu. Des films, des MP3 et même, avec l’arrivée de l’iPad, des revues numériques enrichies. Tout contenu qui transite par une machine Apple doit être monétisé pour en tirer un maximum de bénéfices.

Seul problème, à force de vouloir trop simplifier, cela ne nuirait-il pas à l’inventivité d’Apple ? L’iPhone en est un bel exemple. Trop restrictif (bien qu’étant initialement une révolution ergonomique), il a fallu attendre les versions successives (espacées d’un an minimum entre chaque) pour le voir se doter de fonctionnalités basiques telles le copier coller ou encore la capture de vidéos. L’utilisateur est pris aux piège et vit au dépends du bon vouloir d’Apple concernant l’implémentation de telle ou telle technologie : certains en font d’ailleurs déjà les frais concernant la politique de Jobs envers la technologie Flash.

Un petit tour du coté de l’annonce de l’iPhone 4 nous révèle l’absence de tout "Wow effect" auquel Apple nous avait jadis habitué. Le "One more thing" perd de son attrait lorsqu’Apple annonce vouloir ressusciter la visio qui a été déclaré morte depuis un bon moment par tous les experts des usages mobiles. L’iPad est, pour avoir joué avec, une belle machine certes impressionnante au premier abord, mais qui manque clairement d’ouverture pour combler des lacunes qui permettrait de lui trouver un usage quotidien et durable au sein d’un foyer moyen.

L’égérie des geeks est-elle encore vivante ? Cette marque qui les aura fait rêvé et vibré les regarde-t-elle encore et les reconnait-elle comme ses premiers clients ou les ignore-t-elle désormais définitivement ? Il semblerait que le manque d’ouverture d’Apple marque le point d’orgue des dissensions entre sa clientèle geek et elle même, la coupant désormais d’une bonne part d’inventivité que cette première aurait pu lui insuffler. Mais que Steve se rassure, il aura toujours derrière lui quelques aficionados de la première heure qui sont peut regardants sur les concepts d’ouverture et de bidouillabilité. ;-)

4 janvier 2008

Pourquoi l'iPhone ne s'est vendu qu'à 70 000 exemplaires en France

Si vous trainez un peu dans la vide blogosphère geek ces derniers jours, vous n'avez pas pu passer à côté de l'information relayée partout tant il n'y a rien à se mettre sous la dent en ces premiers jours du mois de janvier. L'iPhone, ce téléphone d'Apple au succès fulgurant outre-atlantique, au buzz interminable et à l'ergonomie novatrice ne s'est vendu qu'à 70 000 exemplaires en France le mois dernier. Tentons de décrypter ensemble ces chiffres de vente officieusement décevants.

iPhone d'Apple

Officieusement décevants puisqu'officiellement, les chiffres de vente attendus étaient compris entre 50 000 et 100 000 unités pour le premier mois de vente dans l'hexagone. A lire ces prévisions, on pourrait se dire que la mission a été accomplie avec succès, mais c'est sans compter sur l'hallucinant et très prometteur nombre d'exemplaires écoulés le premier jour qui s'élève à 30 000. Oui, près de 40% des ventes de l'appareil se sont déroulées le premier jour ! Après, ce fut le calme presque plat pour un téléphone si attendu en France, et ce pour plusieurs raisons :

Tout d'abord, le temps d'attente pour voir le téléphone arriver sur le marché français a été extrêmement long, avec un "ni oui, ni non" couplé à un "je t'aime, moi non plus" assez lassant entre Apple et les opérateurs téléphoniques français. Tellement long d'ailleurs que certaines mauvaises langues désespéraient de voir un jour l'iPhone arriver en France. Entre la sortie de l'iPhone aux USA en juin dernier et sa sortie en France, il se sera écoulé quand même six longs mois.

Le marché français est différent du marché américain : les besoins divergent et les offres également. Ainsi aura-t-il fallu voir venir la sortie de l'iPhone pour pouvoir enfin bénéficier de forfaits data illimités. Mais cette offre banale aux USA étant une première chez nous, cela a également un prix : les forfaits téléphoniques pour iPhone ne sont pas disponibles en dessous de 49€ par mois. N'importe qui ne peut pas s'offrir un forfait de la sorte en plus du prix du téléphone qui est de 399€ ! Qui a dit que la technologie était à la portée de toutes les bourses ?

A marché différent, marketing différent. Si l'Apple-mania existe bel et bien en France, elle est moins exacerbée que de l'autre côté de l'Atlantique et les files de queues devant les magasins Apple y sont beaucoup moins longues. Le buzz à l'américaine n'a pas marché en France, du moins pas comme escompté. Certes, les aficionados de la pomme ont acheté leur jouet le jour de la sortie, mais le buzz s'est vite effondré car il n'a pas été entretenu en chez nous. Il aura en effet fallu attendre le dernier moment pour voir apparaître les publicités pour l'iPhone dans notre beau pays. Sans compter l'absence de ce dernier à l'Apple Expo, rendez-vous incontournable des geeks de tout poils. Conséquence directe de la longue partie de cache-cache entre Apple et Orange ?

Si l'acheteur de base de l'iPhone est le technophile (je pense qu'il est inutile de préciser que la ménagère moyenne ne va pas se payer un téléphone à ce prix alors qu'elle peur en avoir un à 1€), ce dernier est l'utilisateur le plus difficile à satisfaire car très exigent ! Il aura aussi vite remarqué la qualité de l'appareil que ses défauts. Ainsi l'absence de fonctionnalités telles que l'envoi de SMS en masse, la vidéo, la gestion des MMS, etc, aura généré un buzz négatif dont Orange et Apple se seraient bien passés.

Voici à mon sens les principales raisons pour lesquelles l'iPhone ne s'est pas mieux vendu en France alors que ce produit aurait pû être un best-seller. Cela ne signifie pas que les chiffres de vente ne sont pas honorables, mais tout simplement qu'un marché français trop peu mature, une mauvaise adaptation aux besoins et aux attentes de la clientelle locale ainsi qu'un marketing peu élaboré de la part d'Orange n'ont pas aidé à gonfler ces chiffres qui auraient pu, à mon sens, être bien meilleurs.

Pour aller plus loin : Petite étude marketing du bruit généré par l'arrivée de l'iPhone sur le marché rédigée en juillet dernier.

6 novembre 2007

Qui veut gagner un iPhone ?

Reçu directement dans ma boîte aux lettres tout à l'heure, le mail en provenance de Philippe m'invitait à gagner un iPhone. Je sais, ce n'est qu'un concours parmi tant d'autres, mais comme ça ne coûte rien d'essayer, laissez-vous tenter et remplissez le petit formulaire qui s'affichera après avoir cliqué sur le logo ci-dessous. C'est pas tous les jours que Wikio nous offre un iPhone après tout, et puis, si vous en gagnez un, j'en gagne un aussi pour la peine : deux pour le prix d'un, elle est pas belle la vie ? ;-)

badge de parrainage

Bon, je vous laisse aller gagner votre iPhone, moi j'ai des maths à faire. Non mais, et dire qu'il y en a qui se la coulent douce en vacances ! :-)

1 juillet 2007

Modeste étude marketing et comportementale du phénomène iPhone

Je le reconnais, le titre de ce billet fair un peu prétentieux mais vous savez que je suis quelque peu fasciné par tout ce qui touche aux nouvelles technologies et également au marketing. La sortie du joujou d'Apple dont tout le monde parle ne pouvait pas me laisser indifférent mais pourquoi justement écrire et lire un billet de plus à ce sujet ? Tout simplement pour se focaliser non pas sur le produit mais sur son écosystème qui forge petit à petit le produit, rituel identique à la sortie de chaque nouveauté signée Apple. L'iPhone : oui, mais derrière ?

iPhone d'Apple

La technologie à l'origine du buzz ?

Pour expliquer le buzz autour du produit qu'est l'iPhone, il y a sans doute une part de rêve technologique. Rappelons qu'Apple est à l'origine de bien des inventions qui ont révolutionné certains usage, la première étant la souris. nous sommes donc en droit d'attendre de la part de la firme à la pomme une certaine dose d'innovations technologiques dans ce téléphone portable. Malheureusement, les puristes n'auront rien de bien croustillant à se mettre sous la dent.

En effet, aucune technologie révolutionnaire n'est ajoutée à l'iPhone, si ce n'est l'écran tactile que d'autres téléphones utilisent déjà. Côté logiciel, Apple garde sa philosophie propriétaire avec un appareil fermé aux applications externes, assurant le total monopole de la marque sur la vente, l'installation et le développement de services futures. Quelques fonctionnalité comme le système d'écriture intuitive et évolutive sont griffées de la patte de la marque, mais rien de vraiment original n'est à déplorer. Certains regretteront même l'absence de fonctionnalités considérées comme indispensables par certains comme la 3G, le MMS ou encore la capture vidéo.

La technologie ne sert pas la popularité de l'iPhone puisque d'autres font aussi bien voire mieux qu'Apple pour des usages donnés. Pourtant tout le monde en veut un : pourquoi ?

Le prestige de la marque

Apple est sans conteste une marque à la renommée internationale pour ce qui concerne la high tech grâce à des produits certes un peu chers à l'achat, mais de très bonne facture et à la durée de vie équivoque. Le design de ses objets est en total décalage avec ce qu'il se fait sur le marché, ce qui fait que vous pouvez discerner un objet Apple entre tous. C'est en partie ce gage de qualité que les gens cherchent à travers ces produits : l'assurance d'un très bon produit aux finitions léchées et à la durée de vie incomparable.

Les acheteurs de l'iPhone sont également les consommateurs de la génération iPod. Ceux-ci ont vu naître des mains du géant ce qui sera LE produit phare du marché de la musique "mobile". Ces derniers attendant donc la révolution de la téléphonie mobile des mains de ce même géant aux doigts d'or et pas qu'au seul sens figuré d'ailleurs, puisqu'Apple joue de sa popularité pour entretenir le buzz jusqu'au dernier moment.

Le buzz au rendez-vous...

On savait que Steve Jobs était un pro du marketing, il nous l'a confirmé une fois encore. Il a su donner rendez-vous régulièrement à toute la presse spécialisée lors de ses fameuses Keynotes, pour divulguer un à un les plats de résitance sans dévoiler le dessert afin de garder ses convives en appétit jusqu'au bout. Souvenez vous que l'appétit vient en mangeant et que ce proverbe s'applique aussi au domaine du marketing. Ainsi, les spéculations se mèlent aux réelles informations si peu nombreuses au final pour donner un cocktail détonnant.

Rien de tel que de jouer un peu plus de ce cocktail pour densifier son effervescence avec quelques petits gestes insidieux comme la livraison par du personnel armé des Apple Stores à l'image des bijouteries, ce qui a pour effet de renforcer le sentiment de mise à disposition au grand public d'un objet de luxe pour un prix (presque) abordable. La campagne de sacralisation est telle que le personnel des Apple Store se sont vu prendre en flagrant délit d'applaudissement des premières personnes qui après avoir passer une nuit de camping sauvage à attendre leur objet fétiche, ont pu enfin l'approcher et l'acheter dans leur magasin.

Mythe durable ou éphémère ?

L'expérience de l'iPod dans le domaine de la musique est bien souvent déformée par les médias. Les premières versions étaient fortement imparfaites avant d'arriver à l'objet culte que nous connaissons tous aujourd'hui. La politique actuelle d'Apple ainsi que sa renommée font que ce n'est plus aujourd'hui le profil type des early-adopters d'autre fois qui convoitent leur produit. Ces nouveaux clients accorderont-ils à la marque des éventuels faux pas comme il y en a eu pour l'iPod ? Ceci est loin d'être certain.

Les faux pas sont généralement liés au manque d'expérience dans un domaine particulier. Or, la téléphonie mobile est une grande première pour Apple et le marché est déjà bien prisé par de grandes enseignes aussi bien professionnelles que tout public. S'il n'y a pas de place à prendre, la seule solution qui reste est de s'en créer une. L'arrogance de la pomme suffira-t-elle à se faufiler sur ce marché ? L'innovation n'est, nous l'avons déjà dit, pas véritablement au rendez-vous pour cet objet qui arrivera peut-être difficilement à se frayer un chemin ici.

Enfin, le dernier atout d'Apple est la révolution. Entendons par là la révolution des usages comme elle a sur le faire dans bien des domaines. Si, techniquement, l'iPhone n'est pas véritablement révolutionnaire, peut-être le but non avoué d'Apple est-il d'instaurer un nouveau standard, un nouvel usage de la mobilité en appuyant sur le trait de la convergence numérique et en délimitant les fonctionnalités mobiles et multimédias jusqu'alors éparpillées afin de recentrer le domaine vers une évolution prochaine. A l'usage, le fait que l'iPhone devienne autosuffisant à l'utilisateur se généralise, alors Apple aura gagné son pari. Et quel pari !

Enfin, tout le monde ne peut pas se venter d'avoir l'arrogance de Steve Jobs pour tenter un tel saut qui peut être à la fois bénéfique comme suicidaire pour la firme alors confortablement installé sur ses marchés. Les économistes ont un avis très partagé en ce qui concerne l'avenir d'Apple et je dois reconnaître que moi même j'ai du mal à venir le prochain coup venir. Le mat est proche, c'est certain : mais de quel côté à votre avis ?

4 juin 2007

En vrac : Apple, Microsoft, Mozilla et Open Source...

Quoi de mieux qu'un petit "en vrac" pour mentionner les faits divers des derniers jours ? Rapide, concis et efficace, toute l'information est concentrée en quelques lignes et quelques liens, permettant au lecteur de se focaliser sur ses centres d'intérêts. Finalement, je vais peut-être me reconvertir à l'usage unique du "en vrac" moi. Comment ça nan ? Ha bon...

  • On commence de suite avec une actu qui commence à dater : quand Bilou et Stevou jouent à chien et chat ça donne une conférence sympa. Tantôt partenaires commerciaux, tantôt en concurrence rude, les deux compères respectivement à la tête de Microsoft et d'Apple, j'ai nommés Bill Gates et Steve Jobs, se sont rencontrés sur un plateau télé pour une petite rétrospective et confrontation de leurs points de vue respectifs. Difficile de savoir si c'est du lard ou du cochon, mais en tout ça ça ne peut qu'être intéressant. ;)
  • Tant qu'à parler d'Apple, difficile de ne pas mentionner la sortie prochaine de l'iPhone. En effet, le téléphone, iPod, agenda électronique et machine à tout faire de la marque à la pomme d'argent est annoncé pour le 29 Juin aux USA. Les publicités vidéos sont d'ailleurs en ligne depuis peu. Je vous laisse les découvrir. Pour ce qui est de l'Europe et plus particulièrement de la France, la sortie devrait se faire courant Octobre, ce qui laisse encore quelques mois pour économiser les quelques 500 à 600 dollars que coûtera l'engin. Je le veux bien, mais en gratuit moi. ;)
  • Je vous ai parlé hier de Google Gear, le nouveau service de Google permettant de profiter de ses applications "Web 2.0" préférées hors ligne. Firefox 3, la prochaine version majeure du célèbre navigateur de Mozilla devrait intégrer un service de ce type mais réfléchit actuellement à l'intégration de la solution de Google. En effet, malgré le fait que cette fonctionnalité soit prévue de longue date, aucune solution définitive n'était encore retenue, ce qui pousse la Mozilla Foundation à prendre en considération cette nouvelle technologie. Cependant, rien ne garantit que cette dernière sera supportée et encore moins intégrée à Firefox 3, d'autres solutions étant à l'heure actuelle en cours de développement par divers contributeurs. Affaire à suivre donc.
  • Enfin, d'après une étude récente, le logiciel Open Source devrait générer 5.8 milliards de dollars de revenus d'ici quatre ans[1]. L'Open Source qui, je le rappelle, n'est pas forcément toujours gratuit, permet de s'affranchir de nombreuses contraintes imposées par le logiciel privateur, notamment au niveau de la maintenance et de la mise à jour en plus de permettre une modularité nécessaire au bon fonctionnement de nombreuses entreprises. Ces avantages devraient faire de ce marché un marché en pleine expansion dans les prochaines années au grand damne des fournisseurs de logiciels propriétaires.

L'actualité des deux ou trois derniers jours est, comme vous pouvez le constater, assez riche en anecdotes sans qu'aucune ne se démarque assez du lot pour mériter un véritable billet digne de ce nom. Il n'y a toujours rien de bien palpitant sur le net en ce moment, rien qui n'entraîne vraiment la fureur des blogueurs, si ce n'est encore et toujours Twitter qui a l'art de faire jaser. Tiens, d'ailleurs en parlant de ça, un billet sur le pourquoi du comment de Twitter avec mon opinion d'utilisateur ça vous dit ou pas ? :)

Notes

[1] Attention toute fois de ne pas confondre Open Source et Logiciel Libre qui sont deux philosophies différentes.

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